Peines d’amour perdues

peines d'amour perduesPeines d’amour perdues (Love’slabour’slost)

93 mn Royaume Uni

Fiche technique :

Scénario : Kenneth Branagh, d’après la pièce éponyme de William Shakespeare

Musique : Patrick Doyle Directeur artistique : Mark Raggett Décors : Tim Harvey Costumes : Anna Buruma .

Distribution : Alessandro Nivola: le roi Ferdinand Alicia Silverstone : la princesse Natascha McElhone : Rosaline Kenneth Branagh  : Berowne Carmen Ejogo : Maria Matthew Lillard : Longaville Adrian Lester : Dumaine Emily Mortimer : Katherine Richard Briers : Sir Nathaniel Geraldine McEwan  : Holofernia Stefania Rocca : Jacquanetta Jimmy Yuill : Constable DullNathan Lane : Costard Timothy Spall : Armado .

Synopsis :

L’action se déroule en 1939 à la cour de Ferdinand, roi de Navarre alors qu’éclate la Seconde Guerre mondiale en Europe. Le souverain et ses trois fidèles compagnons, Longaville, Dumaine et Berowne, désireux de consacrer les trois prochaines années à leurs études, s’engagent, par un serment solennel, à renoncer à toute frivolité, à la compagnie féminine, à jeûner une fois par semaine et à dormir 3 heures seulement par nuit.

Pourtant, quand la fille du roi de France accompagnée de trois charmantes demoiselles de compagnie, arrive en visite officielle afin d’engager des discussions à propos du statut de l’Aquitaine, le pacte ne risque-t-il pas d’être rompu ? En effet, Ferdinand et ses amis tombent rapidement sous le charme des quatre jeunes filles.

 

Une critique pour donner l’envie… :

Il a filmé l’intégrale de Hamlet ; et dans Au beau milieu de l’hiver une troupe de comédiens sympas et ringards qui jouaient cette pièce tant bien que mal. Il nous a fait aimer ­ à nous, vous rendez-vous compte ? ­ la bataille d’Azincourt dans Henry V. Et il a, surtout, fait de Beaucoup de bruit pour rien une comédie frénétique à la Howard Hawks, où Emma Thompson et lui se livraient à une joute verbale (et sensuelle) sans merci. Revoilà donc Kenneth Branagh aux prises avec son auteur favori. Le plus plaisant, ce sont les trouvailles. Branagh ne sert pas son maître en valet servile. Pour le célébrer, il lui vient l’astuce d’un Scapin, l’esprit d’un Figaro. Il va jusqu’à lui inventer des périls, afin qu’il puisse triompher avec gloire.  (Pierre Murat Télérama)

 

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